Une lettre finale

Désolé…

Ou pas désolé, lisez le reste.

Lettre finale :

Je ne suis pas désolé pour cet acte mal classé niveau social. Cela ne semble pas logique du tout mais si on pense différemment et correctement à ma façon de penser et agir, cela vous semblera bien logique ou au pire des cas, compréhensif.

J’ai décidé de me planter un couteau de cuisine dans la tête car cela m’assure pour sûr mon décès. 

Il suffit juste d’avoir les couilles pour se planter un couteau mais cela représente juste un moment de courage ou de petit couillon crétin (votre point de vue).

Donc oui, je me suis bien planté le couteau de cuisine de la maison de la famille des Debons de Sion, le jeudi matin du 23 février 2017 dans la matinée (tout ce blabla pour l’enquête des flics qu’il n’y aura pas pour mon cas car encore un d’ouvert sur moi)(oui ouvert depuis plus d’une année).

Pourquoi ai-je commis cet acte infecte et immonde ?

Parce que j’ai compris et que je connais toutes les règles et  actes de la société en général et en détail.

J’arrive à l’analyser en société en temps réel. Cet acte demande beaucoup d’attention, je me taisais donc car je ne savais pas quoi dire en fonction des situations.

Je suis donc expert en analyse des situations sociales.

Mots pour les proches et divers :

Pour la famille : désolé pour ce corps que j’ai laissé pétrir sur une place de parking de la maison, je suis parti exploré l’après de la vie. Admirer voir si je finis par visiter le paradis voir Pépé Albert ou bien que je finisse en enfer pour devoir souffrir suite à cette décision réfléchie et osée. Bon Deuil et bonne suite ! Désolé pour tout le bordel que j’ai laissé et partager bien mon texte de la 1ère page pour que les gens me voient plutôt comme un explorateur du domaine de l’au-delà.

Pour Vincent Daverio : désolé mec mais on ne la fera pas cette marche et il n’y aura plus de bière non plus. Bonne suite dans ta formation de médecin, elle a l’air de devoir demander beaucoup !

Pour le PCV : Meilleures salutations ! Je devais sûrement arrêter cette aventure à vie. Je pense au conditionnel car je n’ai pas essayé d’entreprendre ma reprise. J’étais intéressé par une autre exploration  moins connue ! L’exploration de l’After-Life. Bon elle est forcée mais vu mon dossier, cela ira au mieux ! Bonne suite pour la suite. Effectuer un saut tous ensemble pour fêter ma mémoire d’un jeune homme de 23 ans parti en exploration de l’au-delà. 

Pour l’armée ; Merci, au revoir !



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